Hiram Z. Wyverstone

Nom : Wyverstone
Prénom(s) : Hiram Zadock
Âge :  18 ans
lieu de naissance : Iria ♦ Tamaris
Sexualité : Bisexuel
Statut/métier : Aisée Bibliothécaire
Famille : Un jeune frère, ses parents ayant subitement disparus un jour d'hiver, les laissant seuls
Race :  Tamaris
Groupe : Tamaris
Pouvoir primaire : Peut faire pousser n'importe quelle plante a une vitesse impressionnante
Malus : S'il utilise trop son pouvoir, les conséquences peuvent aller d'un saignement du nez et de la bouche à un évanouissement pur et simple
Catalyseur : un violon, celui que son père lui a offert pour l'un de ses anniversaires
Familier : Un faucon pèlerin, Miaou. Je sais que vous souriez...Kékvous avez, hein ?
Ils communiquent grâce au violon d'Hiram. Il joue, Miaou comprend et en retour siffle des notes.

CARACTÈRE

T'es tellement moche que quand tu lances un boomerang, EH BAH Y REVIENT PAS !

C'est le genre de blagues qu'Hiram peut sortir n'importe quand. Il ne mange la Chantilly que comme CA ( non, ne faites pas les innocents, je sais très bien que vous savez pertinemment de quoi je vous parle ). Son caleçon préféré est parsemé de petites fleurs bleues sur un fond rose. Il ne met jamais de sucre avec son café. Oh ! Et le café, jamais après six heure ! Il est joyeux, amical, animé à partir du moment où il vous connaît. Avant, il peut paraître froid, distant, chiant... Mais apprenez à le connaître, il est bien différent. Il s'attache plus ou moins rapidement, car il a toujours à l'esprit qu'a n'importe quel moment vous pouvez mourir, ou disparaître. Il affectionne particulièrement son métier. La connaissance est une chose très importante. Il ne faut pas l'ignorer. Si un jour quelqu'un décidais de détruire les livres, il serait le premier à s'opposer à cela. Quitte à mourir pour cette cause Il a un frère. Ce frère est la chose la plus importante au monde pour lui. Il veut qu'il ait une bonne éducation, un bon job, un bon salaire, qu'il réussisse sa vie dans ce monde de fous... Hiram est un grand fan des livres. Si sa vie pouvait ne se composer que de livres, de musique, et de Miaou, ce serait le pied.  Et il a des peurs aussi, plein. La mort de son frère, que se parents reviennent, de l'eau... De Faronir, et des Malfestios, puisqu'il ne sait pas ce que c'est. C'est toujours intrigeant et flippant, ce qu'on ne connaît pas. Cependant, Hiram est relativement curieux et téméraire. Mais les gens disent qu'ils sont étranges et dangereux, il n'a pas d'autres avis que les leurs, donc il les craint, tout en voulant en rencontrer, pour voir si les gens disent vrai...  

PHYSIQUE

L'important ce n'est pas d'être grand, mais d'être à la hauteur

Vous voulez vraiment que je décrive? Vous pouviez pas le lui demander directement, non ? Bon...Par ou commencer...On va faire du haut vers le bas. Cheveux foncés, presque noirs. Son implantation lui fait une frange trop longue et irrégulière. Il a des yeux très clairs, gris, p'tèt bien. Ils trahissent souvent son humeur. Un nez qui ressemble a un...nez, je dois dire... bah oui, on va pas plaider sur la forme d'un nez! Il a une bouche, c'est pas trop mal, moi je dis, mais elle est plutôt grande, je trouve, par rapport à son nez. Sa mâchoire est très anguleuse. Il est musclé, mais cache ses abdos sous des sweats à capuche. Capuche le plus souvent remontée sur sa tête, sauf au travail. Il n'a pas de gant, Miaou a compris qu'il devait se poser sur son épaule et non sur son poing. Dans son dos un sac noir. Le haut de son violon en dépasse, ainsi que son archer. Ses pantalons sont toujours sombres, marrons-noirs, avec de grosses poches sur les cuisses et une ceinture en cuir avec des sacoches dans le même matériau. Et pour les chaussures, des bottines de bonne qualité, mais qui tout de même commencent à mourir, en cuir aussi, pas en plastique pourri. Son style, c'est plus côté « obscur » il ne se montre pas trop, il fait fi de sa coiffure, tant qu'elle n'est pas trop gênante ça va... Dans son sac il y a un livre, le premier livre qu'il a lu, celui avec lequel il à apprit à lire. Il lui rappelle d'où il vient, qui sont ses parents.  C'est important pour lui, même si il trouve horrible de la part d'adultes d'abandonner ses enfants. Mais après tout, il ne sait pas s'ils sont morts ou s'ils les ont vraiment laissés seuls.

Une quinzaine de lignes est requise pour cette partie.

HISTOIRE

La vie, ce n'est pas d'attendre que l'orage passe, c'est d'apprendre à danser sous la pluie

Once upon a time....C'est une façon de voir les choses...J'avais deux parents, dont la mère n'avait d'yeux que pour mon petit frère... Ils étaient absents toute la journée, nous laissant seuls, Lysander et moi. Il était jeune, il restait avec moi, même quand j'aurais voulu être seul. Mais j'avais pas le choix, mon père m'avait donné une mission quand il était né :
« Prends toujours soin de lui. Est ce que tu sais pourquoi ? »M'avait-il demandé.
« Parce que c'est mon frère, mon petit frère et que je dois le protéger ? »Avais-je alors proposé, pas si sûr de moi.
« Autre chose ? »
« Je sais pas... »
« Je te l'ai demandé, parce que je sais que je peux compter sur toi pour ne pas faillir à cette tâche, et parce que je t'aime, comme je vais aimer ton frère, je ne veux pas qu'il vous arrive quelque chose de mal, ni à l'un ni à l'autre, et je ne vous laisserai jamais seuls. Je ne vous abandonnerai jamais. Promets-moi de ne jamais le laisser seul. » J'avais hoché la tête.

Je n'ai jamais été très proche de Lysander. Comme ma mère le préférait, c'est moi qui prenais tout.
« N'allez pas penser que mon gentil Lysander Horace Wyverstone ferait une bêtise, quelle idée voyons ! C'est un ange ce garçon ! » Mon cul oui !

Mon père m'avait tout appris. Comment faire mes lacets, comment cultiver des plantes, comment les reconnaître, comment les utiliser, comment gagner une partie d'échecs, comment escalader, me cacher efficacement (pour les parties de cache-cache bien évidement), réparer mon violon, comment gagner un bras de fer (en tout cas contre mon frère) comment lire, écrire et surtout comment aimer...

*« je ne vous laisserai jamais seuls. Je ne vous abandonnerai jamais. »*
Un jour pourtant je me suis retrouvé seul avec ma tristesse et ma capuche

*« Si tu as un problème, appelle moi, je serai toujours là pour toi. »*
J'ai essayé. Tant de fois. Mais je ne recevais comme réponse qu'un silence qui me brisait le cœur. Et faisait couler mes larmes. Nous n'étions que des enfants. J'avais onze ans, mon frère six. Il me demandais tous les soirs quand papa rentrait. Je n'avais rien à lui répondre. Je ne connaissais pas la réponse. Je voulais pouvoir lui dire ce que notre père m'avait dit, mais je savais que ce n'étais pas une bonne idée, avec le temps quelque chose au fond de moi me disait qu'il ne reviendrait pas. Chaque soir, je sortais dans le jardin, m'allongeais et regardais les étoiles en pleurant silencieusement.

J'avais raison. Jamais il n'est revenu. Il me restait ma mère. Super. Je continuais à jouer du violon, à lire, à aller à la bibliothèque. De toute façon elle ne remarquait pas quand je n'étais pas là. j'avais demandé à la vieille bibliothécaire s'il pouvait jouer un léger morceau de violon. Elle avait accepté. Tout content, quand je ne lisais pas, je jouais une berceuse. Mon père me la jouais, c'est mon morceau préféré. Il est doux, ce n'est pas gênant pour les lecteurs. Je pense. Je m'abandonnais dans les livres, les livres historiques, qui retracent tout ce que les Tamaris ont inventé, développé. Des livres sur des certains Dons, que les gens auraient...Et Moi ? J'avais un Don ? Oh oui !! J'ai un Don. Je fais pousser des plantes. Non ! Restez-là ! Il est cool ce pouvoir !

J'avais acheté un chêne. Un bébé chêne, je voulais le faire pousser, voir comment il grandissait. Tout content, je lui avais trouvé un bel endroit dans le jardin. Mais le lendemain, et les jours qui suivirent, je voyais que l'arbre ne grandissait pas, je regardais dans les livres de la bibliothèque s'il y avait un livre sur la culture d'un arbre. Il y en avait un, mais je ne le comprenais pas...J'avais donc demandé a la vieille bibliothécaire. Elle m'avait dit que ça prenait plusieurs années. Dépité, j'étais rentré, j'avais posé mon violon par terre près du chêne et je m'étais accroupi, j'avais touché l'arbre et avais imaginé un immense chêne, avec un énorme tronc et une cime si haute que même un chat n'y monterait pas. J'avais entendu un léger « crac ». En ouvrant les yeux, je vis que je ne touchais plus une frêle brindille, mais le tronc d'un arbre qui avait déjà plusieurs années. J'étais hyper excité, j'avais fait poussé un arbre ! C'était ça, mon Don ! J'avais voulu aller voir la bibliothécaire pour lui dire que je l'avais trouvé, mais je me senti pris de vertiges, et je m'allongeais sur place, avant de m'évanouir.

Je ne voulais pas révéler mon pouvoir à ma mère. Je ne lui faisais pas assez confiance. Mais comprenez-moi, cacher un chêne, c'est compliqué. Le lendemain, c'est la première chose qu'elle remarqua. Je m'étais fait disputer, sous l'oeil compatissant de mon frère. Elle m'avait interdit de l'utiliser. Mais ce n'était pas une interdiction de sa part qui allait m'empêcher de faire ce que je voulais. J'avais de l'ambition : Créer mon jardin de plantes géantes. Alors j'allais en avoir besoin de mon pouvoir !

Pour mes seize ans, j'eus un étrange cadeau : Ma mère n'étais pas revenue, le soir. Nous n'avions pas bien compris, Ly et moi, mais nous avions préférer croire qu'elle rentrait plus tard. J'étais monté sur une basse branche de mon chêne, et avait commencer à jouer un joyeux morceau. Pas que j'étais heureux, mais j'avais envie. Au moins je ne m'étais pas fait défoncer... Alors que je jouais, un oiseau vint se poser à côté de moi. Il me fit sursauter, et basculer. Il me regardait de haut « Arrête, je fais pas si peur que ça ! Tu m'a appelé, alors je suis venu ! » Bordel de...Mais comment je pouvais comprendre un oiseau ? Je me repassais dans la tête ce que j'avais entendu...Ce que j'avais bien pu faire pour « l'appeler ». J'avais joué, et juste joué. Alors je pris mon violon et jouais. Il compris tout à fait ce que je lui disais et répondait à mes questions..Etrange..

Finalement, elle n'est jamais revenue. Au bout d'un certain temps j'ai compris. J'ai encore une fois demandé à Papa de venir. Mais il restait toujours silencieux.

Un jour je suis allé à la bibliothèque. J'ai demandé à la vieille dame si je pouvais travailler avec elle, parce que je n'avais plus de parents. Elle était fatiguée, trop vieille pour porter les livres, donc elle accepta. Je devins donc apprenti bibliothécaire. Elle me dit qu'il fallait par contre que je laisse ma capuche sur mon dos. Je la regardais avec des yeux doux et elle accepta. De toute façon, elle tombait tout le temps dès que je levais la tête... Elle me payais peu, mais c'était déjà gentil de sa part.

Un jour, après le travail, elle me demanda ce qui n'allait pas. Je ne devais pas être hyper heureux. J'avais pensé à mon père toute la journée.
« Un jour mon père m'a dit qu'il ne nous abandonnerait jamais, qu'on ne serait jamais sans lui. Mais aujourd'hui il est mort. Je ne comprends pas, mon père ne nous avait jamais menti... »
« Ho... Mais sais-tu où se trouve ton père en ce moment ? »M'avait-elle demandé.
« Je sais pas... » j'avais une boule dans la gorge.
« Il est à plusieurs endroits. »Je l'avais regardé, incrédule. »Et sous plusieurs formes. »
« Son corps est dans un cercueil sous le sol. Son âme est dans les étoiles... » La vieille dame hocha la tête. « Mais et pour moi ? Il est où, pour moi ? Je le vois sur les photos, j'imagine son visage dans les étoiles...Mais je quitterais la maison, et il ne sera plus la, les étoiles bougent, certaines disparaissent. Un jour il disparaîtra complètement... » J'avais les larmes aux yeux.
«Où as-tu l'impression qu'il est. Où restera-t-il à jamais ? » La première réponse qui arriva dans mon esprit fut « nul part » Ceci déclencha les larmes. Pas les sanglots. Les larmes.
La vieille prit alors ma main, et la posa sur mon cœur.
« Ici. Ton papa sera toujours ici. Ne l'oublie jamais. Il t'a dit que tu ne seras jamais seul, car son souvenir restera toujours avec toi. » Elle me prit dans ses bras. Je pleurais maintenant, des pleurs coincés entre deux sanglots.

Depuis ce jour, mon sourire n'est pas vraiment revenu. Je ne quitte plus Miaou, ni mon violon, ni mes livres. Je suis bien décidé à découvrir qui sont ces Malfestios et pourquoi ma mère à subitement disparue. Et vivre tranquillement, voyager partout, découvrir encore et toujours de nouvelles choses.

Une vingtaine de lignes est requise pour cette partie.

A toi maintenant. Qui es-tu?

Pseudo : Hiram... Et oui, je suis prête à accepter tous les surnoms du monde...
Âge : 16 ans
Personnage de l'avatar : Kylin Zhang ♦ Daomu Biji  
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&  toi, parle nous de toi  !  : J'adore écrire, lire...des romans je veux dire, des livres qui se tiennent a l'endroit et qu'ont pas d'images, je regarde pas mal de films... j'aime pas les Maths ! Buh les maths !
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